« Les rues s’illuminent, se parent d’étoiles et de guirlandes…»

On parle cadeaux, bûches et sapins… Pas de doute, la fête de Noël approche ! Qu’est-ce qui en est à l’origine ? Que veut dire la naissance du Christ, pour nous aujourd’hui ?

Télécharger ICI l’article complet de la CEF.

Comme le racontent les évangélistes Luc et Mathieu, Marie « mit au monde son fils premier-né ; elle l’emmaillota et le coucha dans une mangeoire».

Dans les environs, se trouvaient des bergers. L’Ange du Seigneur s’approcha et leur dit : « Aujourd’hui vous est né un Sauveur dans la ville de David. Il est le Messie, le Seigneur. Et voilà le signe qui vous est donné : vous trouverez un nouveau-né emmailloté et couché dans une mangeoire ».

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Comment mener la mission aujourd’hui, comment semer pour évangéliser demain ? Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen, Mgr Jean Kockerols, évêque auxiliaire de Malines-Bruxelles et Mgr Jean-Philippe Nault, évêque de Digne, Riez et Sisteron répondent aux questions de François Asin sur leurs visions, leurs attentes, leurs difficultés et leur espérance !

Retrouvez ICI l’émission diffusée depuis le 12 décembre dans le cadre des 20 ans de la chaîne KTO et La Vie des Diocèses. 

Première rencontre le 23 novembre dernier, à Digne réunissant les prêtres du diocèse et les équipiers de la préparation au mariage.

Cette journée avait pour objectif d’améliorer le fonctionnement entre clercs et laïcs, puis de réfléchir à l’évolution de notre proposition d’itinéraire concernant la préparation de ce sacrement pour les fiancés.
Nous avons commencé par une lectio divina animée par le père Thierry Cazes, afin de placer cette journée sous le regard du Seigneur.
Ensuite, Carole et Cyrille Prache, responsables diocésains de la pastorale familiale, ont proposé des pistes de réflexion pour renouveler la visée de nos parcours, notamment en favorisant autant que possible une rencontre avec le Christ pour chacun des couples de fiancés.
S’en est suivie une table ronde, lors de laquelle chacun a pu poser toutes les questions qu’il voulait à notre évêque, à notre vicaire général, également prêtre délégué à la pastorale familiale, et à Cyrille et Carole. Le nombre élevé de questions posées est un bon indicateur de l’intérêt des participants !
Après un joyeux moment de partages autour d’un repas partagé (!) nous avons repris nos travaux, cette fois en doyennés, afin de définir des actions concrètes à mettre en place.
Nous nous sommes séparés après une bénédiction donnée par Mgr Nault à chaque équipe en doyenné, dans une grande intimité avec le Seigneur.
Prochain rendez-vous diocésain concernant la pastorale du mariage : le 8 mars 2020 à Manosque, pour la 4e journée des futurs mariés !
Une citation du Pape François, pour conclure :
« Par le Sacrement de Mariage, le Christ reste avec les époux, il leur donne la force de Le suivre, de se relever après leurs chutes, de se pardonner mutuellement, de porter les fardeaux les uns des autres ».

La Pastorale de la santé a invité tout dernièrement Françoise Marmagne, psychologue clinicienne, afin d’aider chacun « à réfléchir sur notre responsabilité lorsque nous sommes en situation d’écouter les personnes que nous pouvons visiter dans le cadre de la pastorale de la santé, que ce soit en maison de retraite, à l’hôpital ou à domicile…»

Il n’a pas été inutile qu’elle rappelle ainsi les fondamentaux en matière de communication : qui communique, à qui, de quelle manière… Avec quelle intention allons-nous à la rencontre des personnes visitées …

Avec l’appui de son expérience mais en suscitant également la nôtre, elle attire notre attention sur ce que nous pouvons dire, comment cela peut être perçu, comment r ajuster nos échanges …Bien sûr il n’y a pas de recette miracle ni de solution « passe partout » mais toujours et encore le souci de l’attention à la personne visitée et devenir attentif à son ressenti même si cela peut s’exprimer par le silence.
Bref vous l’avez compris, il est difficile de rendre compte d’un temps de « formation » car chacun le reçoit en fonction des personnes qui habitent son expérience ; cela fait échos au vécu sur le terrain et nous irons certainement à nos prochaines visites différemment de ce que nous avons fait jusque-là.

Merci à Françoise Marmagne, ce n’est pas l’envie qui nous manque de vous faire revenir à nouveau mais il nous faut d’abord mettre en pratique ce que nous avons appris durant ce temps fort !

Nous notons déjà le prochain temps fort : Samedi 29 février 2020
De 9h à 16h salle Joie et Soleil à Saint-Auban  5, avenue René Piaton (derrière le stade ) sur le thème « Accompagnement des malades en fin de vie et deuil ».

Quelle belle fête ! En nombre et en joie ! Depuis 1855, sans discontinuer, Digne se rappelle que Marie est sa patronne et qu’elle est cette magnifique étoile qui guide vers la vraie lumière, le Christ, « soleil levant qui vient nous visiter ».

À défaut des feux de Bengale de la première moitié du XX° siècle, il y avait bien des lumières au dedans et au dehors, ce dimanche soir à Digne. Presque un quart d’heure avant la messe, la cathédrale était pleine dans une atmosphère joyeuse et recueillie.
C’est au son des galoubets, avec le groupe jarlandin Mantendren de tradicioun, que débutait la célébration. L’homélie nous rappelait que « le Seigneur continue à appeler, comme il a appelé Marie. Il peut même venir nous chercher très loin et très bas. Il nous invite à puiser à la source de son amour pour le rayonner autour de nous. Nous sommes choisis par Dieu pour incarner sa bonté, sa tendresse et sa justice. Dans ce monde troublé, c’est plus que jamais nécessaire ». À la suite de la Vierge Marie, nous avons été invités, à répondre oui, au Seigneur et à devenir porteurs de lumière.
Ce que nous avons fait symboliquement, par la procession, à la fin de la messe. Tous avaient leur cierge et sont partis dans l’allégresse, au son des chants et des galoubets. Après vingt minutes de marche vers la cathédrale Saint Jérôme, suivant la statue de la Vierge Marie, l’orgue historique nous accueillait avec des accents triomphants.
Apothéose de cette soirée, la traditionnelle montée de l’étoile : il fallait relever la tête pour la contempler. C’est le symbole de notre espérance : « Comme s’il voyait l’invisible, il tint ferme » (He 11,27). C’est avec un grand enthousiasme que nous avons conclu en chantant, en « lengo nostro » Notre Dame de Provence (Prouvençau e catouli).
Malgré le froid, nous étions encore très nombreux autour d’un jus de poire chaud tout droit venu du Brusquet. Merci à ceux qui ont préparé et réalisé cette belle fête de famille. Restons dans la joie et sachons transmettre l’espérance vécue en cette magnifique soirée .

                                                                                                     Cyrille PRACHE

La délégation des Alpes du Secours Catholique propose un concert pop et gospel en l’église Saint Martin.

Samedi 7 décembre, en l’église de Barcelonnette, Bernard Coste a reçu de notre évêque les ministères institués du lectorat et de l’acolytat.

De quoi s’agit-il ? Selon le site de l’Église catholique de France « on appelle « ministères institués », le lectorat et l’acolytat que reçoivent ceux qui se préparent aux « ministères ordonnés » (diaconat, presbytérat), ils appartiennent à ce qu’on appelait, avant le Concile Vatican II, les Ordres mineurs. Dans certains cas, des laïcs hommes peuvent être admis d’une manière stable à ces Ministères ».
Bernard Coste est actuellement en chemin vers le diaconat en vue du sacerdoce. C’était donc une messe particulièrement riche en signes liturgiques et chargée d’émotion qui a vu Monseigneur Nault confier ces deux ministères à Bernard, au sein de sa communauté paroissiale.
Tous les diocésains peuvent se réjouir de cette nouvelle étape vécue par Bernard, et le porter dans leur prière pour confier au Seigneur ce don qu’il fait de sa personne, à notre Église.

Texte et photos : Cyrille Prache