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jeudi 18 juillet 2024
Blog Page 87

L’assemblée plénière des évêques à Lourdes

Notre évêque Mgr Jean-Philippe Nault était à Lourdes cette semaine pour l’assemblée plénière d’automne, qui s’est achevée ce mercredi 8 novembre.

Cette assemblée a réuni 119 évêques en activité, 17 évêques émérites ainsi que des représentants de Conférences épiscopales étrangères. Etaient aussi présents le nonce apostolique Mgr Luigi Ventura, les responsables de la Conférence des religieux et religieuses en France (CORREF), la présidente du Service des moniales, la Présidente de la Conférence nationale des instituts séculiers de France, les directeurs des Services nationaux de la Conférence des évêques de France. Etait aussi invité Monsieur Etienne Lhermenault, président du Conseil national des évangéliques de France.
Alors qu’à l’ouverture, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la conférence des évêques de France rappelait combien « Notre Eglise continue sa mission essentielle, qui est celle d’annoncer l’Evangile à tous » il soulignait hier tout particulièrement les « moments forts, riches et profonds » qui ont marqué cette nouvelle assemblée.
Et de conclure par un extrait de la lecture faite ici même à l’office des Vêpres la veille, tiré de la Lettre aux Romains chapitre douzième : « Que votre amour soit sans hypocrisie. Fuyez le mal avec horreur, attachez-vous au bien. Soyez unis les uns aux autres par l’affection fraternelle, rivalisez de respect les uns pour les autres. Ne brisez pas l’élan de votre générosité, mais laissez jaillir l’Esprit ; soyez les serviteurs du Seigneur. Aux jours d’espérance; soyez dans la joie ; aux jours d’épreuve, tenez bon : priez avec persévérance. ».
Plus d’informations en cliquant ICI

Photo : CEF

 

 

Aimer et prier Marie…

Pour être chrétiens, soyons marials !

« Vierge Marie, Étoile de la nouvelle évangélisation, aide-nous à rayonner par le témoignage de la communion, du service, de la foi ardente et généreuse, de la justice et de l’amour pour les pauvres, pour que la joie de l’Évangile parvienne jusqu’aux confins de la terre et qu’aucune périphérie ne soit privée de sa lumière ». [Pape François, “La Joie de l’Évangile”, n° 288].
« La bienheureuse Vierge est invoquée dans l’Église sous les titres d’avocate, auxiliatrice, secourable, médiatrice, tout cela cependant entendu de telle sorte que nulle dérogation, nulle addition n’en résulte quant à la dignité et à l’efficacité de l’unique Médiateur, le Christ » (Vatican II, Lumen Gentium 62).
Chers amis,
Une nouvelle fois, je viens vous retrouver pour partager avec vous sur Celle qui est à la fois si extraordinaire, si simple et si proche, la Vierge Marie.
Nous savons la place qu’Elle tient dans le cœur de chacun d’entre nous, dans nos familles et nos villages, mais aussi dans l’histoire de notre diocèse ou de notre pays, sans oublier la tendresse qu’elle suscite chez ceux qui sont plus loin de l’Église. Comme le souligne avec force le Pape François : « Pour être chrétien, soyons marials ! » [Fatima, mai 2017]. Nous en parlerons dans l’élan de ce qu’a porté l’Église depuis des siècles, et qui nous rejoint comme un don à transmettre nous aussi : vivre en Église, c’est vivre avec Marie et vice-versa !
Je souhaiterais aborder ce thème sous l’angle du lien personnel et communautaire, non seulement pour pointer quelques aspects importants de notre relation à Marie, mais aussi pour préciser des idées concrètes qui veulent nourrir notre prière. Dans notre désir partagé de rencontrer le Christ personnellement et de vivre davantage de Lui, la Vierge Marie est certainement “l‘intermédiaire” idéale, comme le rappelle le Concile [Cf citation ci-dessus].
Enfin, le souci de l’évangélisation nous habite pour partager ce qui comble notre cœur et notre vie : aimer et faire aimer Jésus ; Marie va nous guider sur ce chemin !
Marie, notre Mère !
Marie est notre Mère ! L’Évangile de Saint Jean nous l’affirme clairement en mentionnant ce moment où Jésus nous donne Sa mère : « Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie Madeleine. Jésus, voyant sa mère, et près d’elle le disciple qu’il aimait, dit à sa mère : “Femme, voici ton fils”. Puis il dit au disciple : “Voici ta mère”. Et à partir de cette heure-là, le disciple la prit chez lui » [Jean 19, 25]. Mais Elle est bien sûr d’abord Mère de Dieu (maman de Jésus qui est Dieu). Cela pourrait nous impressionner, mais cela nous rappelle surtout que c’est Elle qui connaît le mieux Dieu. En étant notre Mère, Elle nous aide à rencontrer Dieu, à l’aimer et à nous laisser aimer par Lui.
Le Pape Paul VI l’a déclarée Mère de l’Église à la fin du concile Vatican II, en mettant toute l’Église sous sa protection. Nous nous rappelons la dévotion filiale de Saint Jean-Paul II qui ne cessait de se tourner vers Elle, tant pour sa vie personnelle que pour sa vision de l’Église et du monde. Le Pape François souligne la place particulière qu’Elle doit tenir dans le cœur et la vie des chrétiens, tout spécialement comme Mère de Miséricorde ; il souligne ainsi que Marie a été priée pendant des siècles sous ce titre car, en nous donnant son Fils Jésus qui est la Miséricorde, Elle nous faisait sentir la tendre bonté de Dieu et la nécessité du Salut. Alors, comme pauvres et pécheurs, parfois désemparés ou isolés, n’hésitons pas à nous tourner vers notre Mère de Consolation, comme des enfants pleins de confiance…
Si nous prions Marie comme notre Mère, elle nous aide “à être engendré à la vie divine”, c’est-à-dire à la communion avec Dieu. Elle nous aide, comme notre “maman du Ciel”, à vivre déjà avec Elle de la Vie éternelle dans le quotidien de nos vies. Elle qui a élevé son fils Jésus, elle nous aide nous aussi, à grandir dans l’amour du Père et l’ouverture à l’Esprit-Saint…
Marie, maîtresse de vie spirituelle
On peut utiliser ce terme de “maîtresse de vie spirituelle” pour montrer combien la Vierge Marie peut nous aider à grandir dans la Foi et nous aider à rencontrer Dieu en vérité et à vivre de Lui. « Marie, une maîtresse de vie spirituelle, la première qui a suivi le Christ sur la “voie étroite” de la croix, nous donnant ainsi l’exemple » [Pape François à Fatima, mai 2017].
Depuis son premier “oui”, comme enfant [Présentation de Marie] où Elle se donne au Seigneur, jusqu’à l’Annonciation ou à la Croix, Marie a dit “oui” avec confiance. Elle s’est toujours ouverte au don de l’Esprit Saint et à son action, dans une simplicité naturelle et profondément humaine. Marie est bien un “Maître spirituel” pour chacun de nous ; Elle nous apprend à nous abandonner à Dieu, à Lui faire confiance, à Le laisser agir en nous pour grandir dans la sainteté et dans le lien personnel avec Lui. Elle nous enseigne, non seulement à l’aimer davantage, mais surtout à nous laisser aimer par Lui, c’est-à-dire à faire que Sa volonté se fasse en nous. Elle nous aide à être disponibles pour suivre Jésus…
Elle nous garde aussi du Mal, elle est victorieuse du dragon [Apocalypse, 12]. Sa protection est si forte que tous les saints, dans les combats spirituels de la vie, se sont réfugiés sous sa garde en la priant avec foi. N’hésitons pas à nous tourner vers Marie dans la tentation, les difficultés de la vie personnelle ou familiale, les moments où nous perdons la paix, dans les tristesses qui accablent… Sa tendresse nous garde et nous rassure.
Marie, Étoile de l’évangélisation
Marie est aussi “l’Étoile de l’évangélisation” pour reprendre une expression de Paul VI : « Au matin de la Pentecôte, Marie a présidé dans la prière le début de l’évangélisation sous l’action de l’Esprit Saint. Qu’elle soit l’Étoile de l’évangélisation toujours renouvelée que l’Église, docile au mandat de son Seigneur, doit promouvoir et accomplir, surtout en ces temps difficiles mais pleins d’espérance ! » [Evangelii nuntiandi n° 82, 1975].
Cette expression a été souvent utilisée par Jean-Paul II et par Benoît XVI. Le Pape François la reprend avec force dans “La Joie de l’Évangile” : « Nous fixons aujourd’hui notre regard sur Marie, pour qu’elle nous aide à annoncer à tous le message de salut, et pour que les nouveaux disciples deviennent des agents évangélisateurs. Dans ce pèlerinage d’évangélisation, il y aura des moments d’aridité, d’enfouissement et même de la fatigue, comme l’a vécu Marie durant les années de Nazareth ». Et plus loin : « Il y a un style marial dans l’activité évangélisatrice de l’Église. Car, chaque fois que nous regardons Marie, nous voulons croire en la force révolutionnaire de la tendresse et de l’affection. En elle, nous voyons que l’humilité et la tendresse ne sont pas les vertus des faibles, mais des forts, qui n’ont pas besoin de maltraiter les autres pour se sentir importants […]. Marie sait reconnaître les empreintes de l’Esprit de Dieu aussi bien dans les grands événements que dans ceux qui apparaissent imperceptibles. Elle contemple le mystère de Dieu dans le monde, dans l’histoire et dans la vie quotidienne de chacun de nous et de tous […]. Cette dynamique de justice et de tendresse, de contemplation et de marche vers les autres, est ce qui fait d’elle un modèle ecclésial pour l’évangélisation ». [“La Joie de l’Évangile” n° 287].
Si « la tâche d’évangéliser tous les hommes constitue la mission essentielle de l’Église » [Pape Paul VI], l‘exemple et l’intercession de Marie vont nous être bien précieux ! Qu’Elle nous aide à laisser “déborder notre cœur” vers les autres pour leur partager notre trésor, l’amour vécu de Jésus. Comme Elle, que nous puissions porter cette intention, la mettre en œuvre et “courir” vers les autres pour partager cette joie !
Prier Marie…
Tout cela est une invitation à prier Marie avec confiance ! À nous tourner vers elle pour partager nos joies et nos difficultés, pour qu’Elle nous aide à vivre davantage de son Fils Jésus et pour l’annoncer avec joie. On peut prier seul, en couple, en famille, en petit groupe, en paroisse, en diocèse… Prier Marie doit nous habiter, car Elle nous conduit toujours vers son Fils Jésus, lui le Chemin, la Vérité et la Vie.
Voici quelques idées concrètes que nous connaissons, mais dont il faut peut-être retrouver la saveur et la fécondité :
+ Le Chapelet. C’est la prière des pauvres … et des saints, disait Bernanos ! Tous les papes et les grands saints l’ont encouragée et ont insisté sur la place centrale de cette prière dans la conversion, la garde du cœur et la croissance spirituelle. Le chapelet [5 dizaines de 10 “Je vous salue Marie”] peut se réciter seul, en couple, en famille, en paroisse… Il peut intégrer des passages bibliques, la méditation des Mystères [méditations sur la vie du Christ ou de Marie], des intentions personnelles ou communautaires… On peut le réciter dans un oratoire, en travaillant, durant un trajet, en se promenant… Pourquoi ne pas le dire à plusieurs dans nos églises parfois peu utilisées, à une heure pratique pour tous ? Plusieurs paroisses du diocèse l’ont expérimenté avec joie et en ont perçu les grâces. Benoît XVI disait : « Le chapelet est une prière contemplative accessible à tous ».
+ L’Angélus. Bien ancré dans notre vie rurale quand il sonne encore à nos clochers, pourquoi ne pas le retrouver avec profit ? Il a rythmé pendant des siècles la vie des paysans et des villages… Il reprend les grands points de l’histoire du Salut : l’annonce de l’Ange à Marie, le “Oui” confiant de Marie, la venue de Son Fils parmi nous. L’Angélus nous aide ainsi à prendre conscience de la présence de Jésus au milieu de nous, et à percevoir ce qu’est le Salut. On peut le réciter (3mn !) à la fin de la Messe, au son du clocher (7h, 12h, 19h), seul ou en famille, au travail ou à la maison, avant le repas ou simplement là où on est… Cette prière rythme le temps et nous rappelle l’immensité de l’amour de Dieu qui est venu, par Marie, habiter chez les hommes pour nous manifester son amour infini…
+ La prière familiale. Elle peut bien sûr se faire à partir de la Parole de Dieu, mais elle permet aussi de prier Marie (en famille ou en couple) et cela va être très fructueux ! Il suffit d’essayer… Le “Je vous salue Marie”, le “Magnificat”, le “Souvenez-vous…”, la “Prière diocésaine à Marie”… tant de prières aimées, connues ou personnelles, nous rapprochent de Marie et nous font toucher sa tendresse et sa proximité.
+ Honorer les représentations de Notre-Dame. Elles sont nombreuses dans nos villages, nos églises et nos maisons : statues, images, icônes, oratoires… Elles peuvent être fleuries ou embellies pour montrer notre amour à Marie. Pourquoi ne pas réciter un Ave en passant près d’elle, pour ma famille, pour ceux qui souffrent ou ne connaissent pas Dieu, pour mes voisins… Et puis cela est un signe qui va toucher ceux qui sont loin de l’Église.
+ Célébrer les fêtes de la Vierge Marie. L’Église le fait souvent au cours de l‘année : Marie Mère de Dieu (1er janvier), la Visitation (31 mai), l’Assomption (15 août), la Nativité de la Vierge (8 septembre), l’Immaculée Conception (8 décembre), les fêtes de ND de Lourdes ou de Fatima, … Ces fêtes s’égrènent sur l’année comme les grains d’un grand chapelet. Elles nous rappellent combien Marie joue un rôle important dans l’histoire des hommes et des nations. N’hésitons pas à célébrer avec joie ces fêtes, en famille, au caté, en paroisse…
+ Acte d’Abandon à la Vierge Marie. C’est ce que nous appelions auparavant “consécration” mais on préfère aujourd’hui réserver ce terme au Seigneur, et utiliser (comme précisait Benoît XVI) le terme d’Acte d’Abandon à Marie. Se donner à Marie avec confiance, pour qu’elle nous conduise plus sûrement vers Son Fils. C’est ce que nous ferons en diocèse le 13 mai prochain, en remettant symboliquement les Projets pastoraux missionnaires de nos paroisses à Marie, et au-delà, en lui confiant l’évangélisation de notre diocèse.
+ Chacun pourra mettre en œuvre ce que l’Esprit Saint lui suggère pour honorer et prier Marie…
La Vierge Marie va nous aider à vivre des 5 essentiels : Elle nous fait entrer dans la prière et l’intimité du Seigneur (prière) ; Elle nous enseigne qui est Dieu pour mieux l’aimer (formation) ; Elle nous aide à “sortir en hâte” vers les autres pour partager (vie de charité) ; Elle nous apprend la joie de la vie fraternelle simple et vraie comme à Nazareth (vie fraternelle) ; Elle engendre en nous le désir de l’évangélisation et nous pousse à nous ouvrir au feu de l’Esprit (souci de l’évangélisation).
Au moment de terminer cette lettre, ma prière fraternelle vous rejoint chacun ; que la Vierge Marie nous accompagne quotidiennement, nous garde et nous guide dans notre marche avec le Christ. Qu’Elle nous aide chacun à devenir davantage des disciples-missionnaires, et nous fasse partager la Joie de l’Évangile !

Vivre paisiblement le grand passage…

Le Service Catholique des Funérailles (SCF) mis en place depuis 2016, est organisé sous forme coopérative et a pour mission originale d’apporter aux familles en deuil un service complet de Pompes Funèbres refusant toute surenchère commerciale.

Ce service offre à chacun s’il le souhaite, et en pleine harmonie avec l’accompagnement déjà réalisé par nos paroisses, une assistance concrète pour l’organisation d’obsèques.
La perte d’une personne que l’on aime amène le chaos au sein de la famille. Que faire, que dire, comment organiser ces jours du dernier adieu dans le respect du défunt ?
Comment les vivre pleinement dans l’espérance du Christ ? Comment faire de ce temps des funérailles un socle qui fonde et nourrisse la vie d’après ?
Dans ces temps si douloureux à vivre ou si difficiles à anticiper pour soi-même, le Service Catholique des Funérailles est là pour vous servir.

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Mgr Nault évoque le SCF dans son dernier édito

La Vie éternelle, si proche…

Dans quelques jours, ce sera la fête de la Toussaint. Cette fête nous rappelle d’abord que nous sommes faits pour la Vie éternelle ! Oui, nous sommes faits pour partager, avec tous les saints fêtés ce jour là, la Joie de vivre avec Dieu pour toujours !

Il est difficile de s’imaginer concrètement le Ciel, hors du temps et de l’espace, et plongé dans la Vie de Dieu, en partageant ce qu’il est pour toujours ! Voilà ce pourquoi Dieu nous a créés avec amour ! C’est notre joie de savoir tant des nôtres immergés en Dieu, et que nous sommes appelés à rejoindre un jour…

Le lendemain, le 2 novembre, nous sommes invités à prier pour nos défunts, à faire mémoire de ceux qui nous ont quittés, et à les confier à la Miséricorde de Dieu. Notre prière et notre amour dépasse les frontières de la mort et notre intercession nous aide à vivre ce moment délicat de la séparation. L’Église nous accompagne sur ce chemin, et toute la communauté chrétienne partage cette prière.

Dans cet esprit, je vous rappelle la présence dans notre diocèse, du Service Catholique des Funérailles (S.C.F.), une société coopérative de « pompes funèbres » qui met la Foi chrétienne au cœur de sa mission. Vous y serez accompagné, sans dimension commerciale ni mercantile, en lien et aux côtés des équipes funérailles de vos paroisses.
Vous pouvez prendre contact (infos et renseignements) avec  Didier Jarry, au SCF Manosque : 04 92 87 85 29 /07 84 40 71 72 / accueil. 04@s-c-f.org

La fête de la Toussaint donne sens à nos vies car elle nous montre qui nous sommes et ce vers quoi nous tendons. Elle réunit l’Église du Ciel et celle de la terre dans une même prière ; elle nous invite à porter nos défunts dans la prière et à vivre dans la Foi.
Que cette lumière brille dans nos cœurs et éclaire ce monde, parfois si loin de Dieu.

Mrg Jean-Philippe NAULT
Évêque de Digne, Riez, Sisteron

Photo : D.Jarry

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Denier automne 2017 : soutenons l’Église de tout notre cœur

Photo : dignois.fr

Nous voici à la Toussaint !

Cette fête nous rappelle que nous sommes faits pour le Ciel, c’est à dire pour vivre avec Dieu pour toujours ! Elle nous invite aussi à porter dans la prière nos chers défunts, ceux qui nous ont quitté, et que nous avons aimés… L’Église est là pour nous accompagner, tout au long de notre histoire, vers Dieu ; sa raison d’être est de permettre à chacun de rencontrer le Seigneur et de se laisser aimer par Lui !

C’est grâce à vous que l’Église peut remplir sa mission auprès de chacun. Notre Église ne vit que de vos dons, car elle ne reçoit aucune aide, ni de l’État, ni même du Vatican. Elle a besoin de moyens pour annoncer Jésus-Christ, pour aider chacun à connaître la Joie de se savoir aimé et sauvé par Dieu. Elle a besoin de moyens pour faire vivre ceux qui se donnent pour vous : prêtres (dans les années qui viennent nous devrions en avoir plus car huit jeunes se préparent actuellement à le devenir), laïcs en mission. Votre Église, vous le savez, est à vos côtés tout au long de l’année pour partager vos joies et vos peines, lors des moments importants de votre vie, qu’ils soient heureux ou plus difficiles voire douloureux…

Alors je compte sur vous ! Soyons fiers de notre Église qui est en Haute-Provence et de tout ce qu’elle permet déjà !

En pèlerinage à Rome…

Ils sont nombreux et heureux les pèlerins partis sous la houlette du père Christophe Disdier-Chave, vicaire général du diocèse, et du père Christian Vian, responsable du service des pèlerinages.

Arrivés à Rome en début de semaine, ils cheminent sur un beau programme riche en visites, en temps de prière, de méditation… Hier mercredi 11 octobre, un grand moment de rencontre : ils assistaient dans la matinée à une audience du Pape François sur la place Saint Pierre…
Retrouvez ICI toutes les étapes du pèlerinage au jour le jour :

 

Journée mondiale des missions : le message du Pape François

Depuis 1926, toutes les paroisses catholiques du monde sont invitées à célébrer le Dimanche missionnaire mondial et à participer à la quête mondiale des OPM.

En 2017, le Dimanche missionnaire mondial est célébré le dimanche 22 octobre, en la fête de Saint Jean-Paul II. Il s’agit de l’avant-dernier dimanche d’octobre.
Dans de nombreux pays, le dimanche missionnaire mondial est précédé d’un temps d’animations missionnaires, lors de la semaine missionnaire mondiale : du 15 au 22 octobre. Ces animations se vivent en paroisse, dans les aumôneries de jeunes, les groupes de catéchisme, les groupes de prière, les mouvements, les maisons de personnes âgées, les communautés religieuses.

Retrouvez ici le message du Pape François.

religieuses

 

 

Action solidarité Cameroun loto familial

L’ Association Solidarité envers le Cameroun organise un loto familial.

Nombreux lots à gagner.5 tours de 3 Quines chacun + le carton plein, les deux derniers tours deux cartons pleins et aussi deux cartons vides.

Fraternité franciscaine « frère Pacifique des étoiles »

Chapitre régional, à l’ermitage St Maxime

Fraternité franciscaine « frère Pacifique des étoiles »

Rencontre à l’ermitage St Maxime

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